Souffle d'un ange et moi je tombe.
Il me tient par les hanches,
De sa poigne si franche
je veux partir en trombe
Retourner dans les ombres
Quand il m'emporte et qu'il m'envole.
Je n'ai pas plus de raison qu'une folle.
Ses lèvres parcourant mon corps
Me donne l'envie de mort
Il me tient par les cheveux
Mille caresses,de mille jeux,
Ses doigts ce promenant sur moi
Réussissans enfin,son plaisir enfin roi.
Ses yeux m'avalent, me rendent impure.
Devant moi sa jouissance me défigure.
De soubresauts en murmures possédés
Mon âme s'est vite affolée.
Couché sur moi comme un animal,
Je voulu mourir, succombé au mal
Me débattant de toute ma puissance
Il ne pu que rire de ma méfiance
Sa force étant si puissante
Je n'eu a l'oeil qu'une gigentesque fante
Dans le creux de ses bras
Je voulu partir
Malgré tout mes débats
Je ne pu m'enfuir
Sa poigne sur mes hanches
Étant maintenant si ferme
Qu'il pu enfin y acoter les siennes
Je cria le plus fort possible
Mais j'était sa plus belle cible
Personne ne vint a mon secours
Me laissant seule sans recours
C'est sa danse macabre défiant les lois
Tu le fais sans aucun drois
C'est moi que tu hantes, plaisirs interdits
Consumant tout de ma vie
Blessant mon âme déjà meurtrie
Telle un âme vagabonde
Insensible à tout plaisir
En moi la colère gronde
Ton amour pour moi veut se faire sentir!
Il me dit avec envie
<<Aime moi ou bien jamais on ne te reverra.>>
A merde sorter moi de la
Jai tout pris ce qu'il y avait en moi
Je crie alors de peur, affolée
<<Crie, petite, crie>>
Mais que va-t-il m'arrivée?
Pourquoi personne viens me sauvée?
Tel mon nom l'indique
Je suis sans valeur
Une enfant unique
Parcourue de pleure
Jamais personne ne me sauvera
Des bras du pire des rois
Après m'avoir si violament violé
Apres m'avoir tout enlevé
Après s'etre fais du plaisir
Avec mon corps de jeune martyrs
Il me laissa partir
Me disant que j'allais regretter
De ne pas m'etre marié
Avec le plus grand des gueriers
Et moi, dans toute cette histoire,
Je marche maintenant dans la nuit noire
Vivant de ces malheurs et peines
Me nourrissant de cette haine
Je me repais de vos pleurs, mortels
Et vis grâce à la souffrance intemporelle
Femme-enfant à l'âme si sombre
Des Tourments immortels
je suis l'Ombre
Et dans mon monde je vous apporterai
Afin de vous torturer et ensuite vous tuer
Sale créature de mon ennemi
Jamais vous aurez de répis!
Bélial...