Ils ont mis leur pied, leur pied dans la vallée, dans ma vallée, celle des ombres et des mal-aimés. Condamné ils sont, condamné ils resteront. Mille yeux les regardes, milles yeux de mes gardes, surveiller par leur propre reflet, s'étalant derrière eux, tous le même effet, au contraire des cieux. La lumière n'existe pas mais il y a aura toujours des ombres, les ombres des rejetés, préparant leur tombes, préparant la mort des damnés. Ils ont avancé en pensant pouvoir passé, dans la vallée des morts, la ou il n'y a plus d'espoir, mais jamais ils ressortirons, car ils ont signé le contrat, dès le premier pas, et pour ce jamais ils repartirons! Leur âme m'appartient, et resteront a jamais miens, moi le maître des illusions, le maître de la déception, mangerai chaque recoins, ne laissant aucune trace de ceux qui ont oser, oser marcher, dans la vallée des mal-aimés. Torturer ils seront, brutaliser ils seront, tué ils seront, et plus jamais nous entendrons, parler de leur nom. Moi et mes confrères, cacher dans notre repère, nous avons tous été jeté et pour cette raison tous périrons. Cet endroit est nôtre, nous ne voulons pas d'ôtes, nous sommes des millier, à avoir été déchiré, et nous serons des millier a nous rebeller. Roi de cette vallée, je suis l'Ombre, chef d'une grande armé, je suis l'Ombre. Dans le fin-fond des ténèbres je suis caché, moi et mes soldats au pouvoir si sombres, attendant les ordres du roi des enfer, communément appelé Lucifer. J'ai eu pourtant, des offres alléchante, qui permettrais a mon armé d'avoir sa place dans les haut gradé. Tout ça offert par des Anges, messager des Cieux, tout autant malicieux. En échange je devais pourtant, convaincre les 6 autres Satan, de me suivre avec leur armé, sur le chemin qui nous était tracer. J'ai refuser toute les offres, et enfermer les anges dans des coffres. Maintenant ce sont des humains, qui oses pénétré dans mon entres, marchant sur mon chemin, celui qui me manque. Ils ne méritent que de mourir, ils me dégoûtent au plus au point, et pour ce jamais ils vont partir, de ce chemin sans fin!

Bélial